HRC | Un an après le meurtre de George Floyd, les voix des familles de victimes et de leurs défenseur.es demeurent cruciales à l'ONU
En réaction au meurtre de George Floyd, le 25 mai 2020 aux Etats-Unis, les défenseur.es antiracistes et les familles de victimes ont réussi à renverser la vapeur à l'ONU sur la question du racisme anti-Noir.es et des violences policières. Dans une nouvelle vidéo diffusée aujourd'hui, ISHR met en lumière leurs contributions essentielles, en hommage à George Floyd et à toutes les victimes de violences policières à caractère raciste.
Le meurtre de George Floyd, le 25 mai 2020, a non seulement provoqué des semaines de manifestations massives à travers le monde, mais a également transmis un sentiment d’urgence, des rues de Minneapolis jusqu’au Palais des Nations à Genève, où s’est tenu, le 17 juin 2020, un débat historique au Conseil des droits de l’Homme sur la question des violations des droits humains à caractère raciste, le racisme systémique, les violences policières contre les personnes d’ascendance africaine et les violences contre les manifestant.es pacifiques.
Dans une nouvelle vidéo intitulée « De la rue à l’ONU », ISHR met en lumière à quel point les contributions des défenseur.es et des familles de victimes sont essentielles et pourquoi leurs voix doivent continuer à résonner à l’ONU.
La communauté amérindienne du village Prospérité a saisi le Comité pour l’élimination de la discrimination raciale de l’ONU pour demander en urgence l’arrêt des travaux de construction d’une centrale électrique située sur ses terres et dont l’usage est essentiel à leur mode de vie.
La 77e session ordinaire de la Commission africaine des droits de l’Homme et des peuples qui s’est tenue à Arusha, en République-Unie de Tanzanie, du 20 octobre au 9 novembre 2023, est désormais achevée. Au cours de cette session, la Commission africaine a renouvelé son bureau. Elle a accueilli les déclarations solennelles des membres nouvellement élu·e·x·s et des membres réélu·e·x·s, et a présenté différents documents et bulletins.
Lors de sa 77e session ordinaire, la Commission africaine des droits de l’Homme et des peuples a accordé le statut d’observateur à neuf organisations non gouvernementales. Elle a par ailleurs rejeté cinq demandes, dont quatre au motif que les organisations concernées ne disposaient pas de bureaux en Afrique.